Thorigny du Nord au Sud
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30 novembre 2009
Réunion Sécurité au Moustier : Debriefing et commentaires
30 nov 2009 16:09:04
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Marne et Gondoire suite sans fin, L’implication de Marne et Gondoire, dans les affaires de la Commune, par le biais de ses compétences est permanente et multiple. Simplement à titre d’exemple, citons : dans les Finances, le transfert de compétence,...
Marc Leclerc
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A 56,58% d'abstention, un bilan provisoire sans signification pour Thorigny !
Réunion de l’Assemblée de Quartier aux Samoreaux, le 25 Novembre 09.
En présence d’une nombreuse assistance, au cours de cette Assemblée de Quartier, beaucoup de sujets ont été abordés, les Finances communales, la Sécurité, l’Urbanisme ; les Conditions de construction,etc…Nous demandons qu’un compte-rendu soit établi qui rappelle avec précision, ces multiples débats susceptibles d’intéresser l’ensemble de la population du Quartier. Ce compte rendu sur le Site Internet, Ville de Thorigny, n’aura d’intérêt que s’il est publié rapidement.
Les Quadras
Rédigé par : Les Quadras | 30 novembre 2009 à 17:25
Allons donc,
Après "le Nouveau Centre" à Paris, avons-nous "une Nouvelle Droite" à Thorigny ?
Qui va souhaiter la Bienvenue aux Quadras ?
Guignolette.
Rédigé par : Guignolette | 01 décembre 2009 à 10:24
Bonjour,
Voici ma réponse, par article interposé, à la vidéo qui nous est soumise à commentaires par notre modérateur. Lors de la dernière assemblée de quartier du Lavoir, la sécurité et le budget furent le centre du débat. Dommage, il y avait d'autres sujets que l'on aurait pu aborder.
Une autre politique locale de prévention de la délinquance ?
Une politique locale de prévention de la délinquance ne peut pas se satisfaire d’un traitement des symptômes plus ou moins efficace et qui n’impacte pas sur les origines des problèmes.
Le plan gouvernemental de prévention de la délinquance, annoncé le 2 octobre, n’arrive pas par hasard. Sur le terrain, les effets de la crise économique sont là et les tensions sont perceptibles. Dans une optique d’efficacité, que penser de ce nouveau train de mesures ?
Du national au local : quel partage des compétences ? Quels partenariats ? L’Etat veut confier le pilotage de la politique de prévention au maire. Fort bien. Mais n’était-ce pas déjà ce pour quoi furent créés les conseils communaux de prévention de la délinquance (CCPD), en 1983, et les contrats locaux de sécu¬rité (CLS), en 1997 ? Autrement dit : pourquoi ce qui est sou¬haité depuis plus de quinze ans n’est-il toujours pas ancré dans les pratiques ?
L’observation du fonctionnement réel de ces instances de parte¬nariat amène des constats durs, mais réalistes. D’abord, ces ins¬tances sont plus souvent formelles qu’opérationnelles. Ensuite, le diagnostic servant de base de réflexion est souvent limité par des statistiques de police qui traduisent de moins en moins bien les évolutions réelles des délinquances (parce qu’elles sont en¬fermées dans des « objectifs de résultat » fixés par avance à Pa¬ris). Enfin, il est un fait que les représentants locaux des grands services de l’Etat (police, justice, éducation nationale) rendent davantage de comptes à leur hiérarchie qu’à leurs partenaires locaux. Les discours sont une chose, les cultures professionnelles et les pratiques souvent une autre. Et ces dernières années, c’est le même État qui déclare vouloir investir les élus locaux dans la gestion de la chose publique, mais qui se mêle aussi de tout, qui contrôle plus que jamais la chaîne hiérarchique de ses fonctionnaires et qui prive les collectivités territoriales de certaines ressources. Ces contradictions doivent être mises sur la table.
Un traitement des seuls symptômes trouve nécessairement sa limite. Une politique locale de prévention de la délinquance ne peut pas se satisfaire d’un traitement des symptômes plus ou moins efficace et qui n’impacte pas sur les origines des problèmes. Or, ici, le coeur des mesures annoncées est objectivement problématique. Il s’agit bien entendu de la vidéosurveillance (VS). L’Etat y incite fortement les collectivités territoriales par une aide financière, il prétend que son efficacité est garantie et il sait que certains maires sont tentés par un équipement immédiatement visible qui produit donc un effet d’affichage, ainsi qu’un effet de réassurance d’une partie des habitants.
Pourtant, force est de rappeler deux choses. Malgré l’aide de départ de l’Etat, un système réellement important de VS coûte très cher à une municipalité (davantage en embauche de personnel qu’en achat et en maintenance du système technique), ce qui signifie que pour la financer, on abandonnera d’autres actions de prévention et de médiation. Et toutes les évaluations scientifiques indépendantes relativisent grandement (pour ne pas dire plus) l’impact durable de la VS, tant au plan préventif que répressif. Dès lors, est-il responsable de s’y lancer à corps perdu au moment même où nos voisins anglais en reviennent avec quelque amertume ?
Une autre politique locale de prévention de la délinquance est possible. En trop peu de mots, rappelons ce qui nous paraît l’essentiel. La répression est nécessaire, nul ne le conteste. Mais d’abord cette ré¬pression peut s’exercer de façon plus ou moins habile et éviter ou non la production d’effets pervers. Par exemple, si la grande majorité des habitants réclament de la présence policière, beaucoup contestent, en revanche, certaines façons de faire la police. Les maires peuvent le dire et aider à faire bouger les lignes. Des expériences de médiation existent.
Ensuite, la répression est par définition un traitement de l’urgence. La prévention ne s’y oppose pas, elle se situe tout autant dans l’action, mais s’exerce dans une autre temporalité : on agit aujourd’hui pour des effets futurs. Dès lors, une politique de prévention se doit de rechercher les causes et d’agir sur les mécanismes qui détermineront le niveau des problèmes dans les mois et les années à venir. On parlera alors de certaines situations familiales très problématiques, de l’échec scolaire, des moyens d’animation proposés aux jeunes le week-end et durant les vacances scolaires, de l’accès à l’emploi, du volet « participa¬tif » de la politique de la ville, et de bien d’autres choses encore, qui sont les véritables sources de la plupart des problèmes que chacun aimerait voir diminuer.
Article de Laurent Mucchielli, Gazette _ 16 novembre 2009
Rédigé par : des femmes, des hommes, des enfants = un village | 01 décembre 2009 à 15:27
Pour compléter le commentaire des Quadras, je dirais que des comptes-rendus circonstanciés et rédigés rapidement, éviteraient, comme il arrive souvent, que soient posées les sempiternelles questions auxquelles doivent répondre, à chaque réunion d’Assemblées de quartiers, les Elus, en l’occurrence, Monsieur le Maire !
Bien sûr, nous avons la revue VAT…qui n’est pas toujours attrayante, ni complète. Mais où sont donc les neiges d’antan ?
Une Quinqua.
Rédigé par : Une Quinqua | 01 décembre 2009 à 16:33
Planète "Quadras"
Le Vatican, combien de divisions ? demandait Joseph Staline au plus fort de la Guerre.
Suivant nos premières estimations, non garanties, la "Planète Quadras" intéresserait 3024 foyers fiscaux, 350 sympathisants et 4 militants, sans compter la totalité des « Jeunes » de Thorigny, sauf trois qu’on avait oublié de prévenir !
Bon vent à tous,
Le Pavé en Mousse, mal équarri et de mauvais poil.
Rédigé par : Le Pavé en Mousse | 01 décembre 2009 à 17:35
« Verba volent, scripta manent »
Le Délégué à la Démocratie si peu-participative se refuse depuis le début des Assemblées de Quartiers à proposer des comptes-rendus objectifs des réunions. Il faut voir là, l’effet du vieux proverbe romain « la parole s’envole, l’écrit reste ». Après des pages et des pages de généralités politiques banales, des lettres à la population et des attitudes provocatrices vis à vis de l’Opposition, un site Internet consternant, constater par écrit le peu d’effet de ce qui peut être considéré comme de la propagande au profit d’une équipe minoritaire et en tout cas mal élue, serait vraiment contre-productif.
A propos de la video « Réunion au Moustier », malheureusement pour ce pauvre adage romain, en vidéo, le son accompagne les images et le tout peut être gravé durablement dans….le plastique, à défaut de marbre.
A quand les enregistrements (amateurs) du Conseil municipal et des Assemblées de Quartiers, nous en aurions enfin fini avec les réticences des organisateurs de ces réunions ?
Un « Quadra » qui ignorait faire partie d’une catégorie d’électeurs et est heureux d’en être.
Rédigé par : Un Quadra | 02 décembre 2009 à 09:48
Causer en Latin dans un post’, ça c’est classe !
Ara-Kiri
Rédigé par : Ara-Kiri | 02 décembre 2009 à 10:45
Concernant les conseils municipaux, nous avons la chance d'entendre le maire puisqu'il profite d'une sonorisation et d'un micro. Mais pour les autres et en particulier l'opposition, nous sommes obligés en tant que spectateurs d'avoir une ouie fine pour entendre leur propos.
A quand un micro pour chaque conseiller ou un pour 2 ca coutera moins cher. Nous sommes en plein budget il serait bien d'y penser.
La démocratie commence aussi par le pouvoir d'entendre toutes les composantes de l'équipe municipale, même ceux en bout de table.
Rédigé par : les Vallieres | 02 décembre 2009 à 13:28
De retour en terre inconnue,
Plus besoin de partir à l'autre bout du monde avec Frédéric Lopez pour vivre une aventure unique, il vous suffit de partir à pied, longer la voie ferrée et remonter vers la gare. En voiture même émotion forte mais dans l'autre sens! Par jour de pluie c'est encore mieux.
L'aventure est à votre porte... merci Marne et Gondoire.
PS Modérateur : Et encore, les feux intelligents ne sont pas prêts d'être en place !
Rédigé par : des hommes, des femmes, des enfants = un village | 02 décembre 2009 à 17:13
Marne et Gondoire,
Quand saurons-nous enfin ce que nos Elus proposent et votent à Marne et Gondoire ? Sur ce point le silence persistant de la Municipalité est inadmissible !
Quadra XXX.
Rédigé par : Quadra XXX | 03 décembre 2009 à 10:29
Commentaire sur le commentaire Quadra XXX,
Marne et Gondoire a un site…..il est de la responsabilité de Camg de faire les comptes-rendus circonstanciés….si maintenant Thorigny doit faire ces comptes-rendus où va-t-on ?
Jean S.
Rédigé par : Jean S | 03 décembre 2009 à 19:03
Marne et Gondoire suite,
Nous remercions vivement Jean S. de nous faire savoir que Marne et Gondoire a un site, nous n’en doutions d’ailleurs pas, et il nous arrive même d’assister parfois aux réunions de l’Intercommunalité.
Il ne s’agit pas de cela. Jean S. oublie un peu vite que les personnes qui représentent les Thorigiens à Marne et Gondoire et surtout si elles y sont en position de Délégués du Président de la Communauté doivent rendre compte de leurs actions au Conseil Municipal de Thorigny et à l’ensemble des Conseillers, Opposition comprise.
Dans toute Démocratie, la fonction de représentation suppose l’obligation de rendre compte.
Jean S. voulait-il laissé entendre que nous ne sommes pas dans une situation de démocratie normale ? C’est un point de vue intéressant !
Quadra XXX.
Rédigé par : Quadra XXX | 03 décembre 2009 à 21:46
Marne et Gondoire,suite sans fin,
L’implication de Marne et Gondoire, dans les affaires de la Commune, par le biais de ses compétences est permanente et multiple. Simplement à titre d’exemple, citons : dans les Finances, le transfert de compétence, dans l’Urbanisme la prééminence des documents Camg sur les documents de Thorigny, en matière de Construction et de logements, l’exclusivité Camg de compétence par l’intermédiaire du Plan Local d’Habitat, en matière de Gel des terrains constructibles à Thorigny,par l’intervention de conventions tripartites administratives et financières, en matière de Promotion industrielle par l’attribution des ex-terrains communaux aux aménageurs suivant les choix de Camg, en matière Culturelle par la mutualisation intercommunale des ressources, enfin par la possibilité pour Marne et Gondoire de se saisir de toute compétence qu’elle juge d’intérêt général.
Pour les Elus qui nous représentent, nous tous les Thorigniens, refuser de rendre compte de l’usage qu’ils font de leurs mandats, constituerait un déni de démocratie qui entamerait sérieusement la légitimité des décisions prises par le Conseil municipal et encouragerait de possibles recours contentieux.
Nous attendons donc une information structurée bien éloignée de l’amateurisme pratiqué depuis 18 mois par l’Equipe majoritaire et à géométrie variable.
Un ancien Conseiller.
Rédigé par : Un ancien Conseiller | 04 décembre 2009 à 13:50